Le gros béta de Claude Lévêque
Claude Lévêque expose au Centre d’art de Sète son « Bateau béta » de huit mètres de long imitant un bateau en papier plié. Devant cet objet qui serait charmant dans une maternelle, la journaliste du Monde (10 sept. 2010) Emmanuelle Lequeux ne sait comment exprimer son « émotion à l’état pur ». Pour revêtir de quelque prestige cette plaisanterie puérile, elle intitule son article « Le bateau ivre ». Pauvre Rimbaud ! Que dire devant ce jeu de miroirs où la bêtise de la critique reflète le béta du soi-disant artiste, sinon qu’il n’en faut pas beaucoup à la première pour s’émouvoir ? Je suppose que Lévêque ou un autre lui auraient tiré des larmes de joie en lui montrant une cocotte en papier.
Encore d’accord avec vous, mais je n’ai pas changé d’opinion à propos de ce que vous avez ecrit sur Onfray, l’islam ou les autres dogmes du livre…