Dans Malaise de l’esthétique, Rancière décrit ce qu’il a vu à Paris dans une exposition d’art contemporain intitulée : « Voilà. Le monde dans la tête ». Il s’agissait pour l’essentiel, dit-il, d’«étalages d’objets quelconques » (p 77). Il y observe avec bonheur et sans la moindre réticence la vénération dont sont entourés des...
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