L’art dit « contemporain » (mais vieux d’un siècle) a toujours refusé d’être jugé sur sa valeur esthétique. Seule compterait la « démarche » du soi-disant créateur, c’est-à-dire ses intentions. Longtemps celles-ci furent censées être innovantes. On devait rompre avec ses prédécesseurs, voire avec soi-même pour introduire constamment du nouveau. Cette conception appartient définitivement au passé. Pourtant la...
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