Ce qui est permis au cinéma ne l’est pas à la peinture
Dans un entretien accordé au Monde par Mia Hansen-Love réalisatrice du film Tout est pardonné (26 sept. 2007 l’artiste répond ceci au journaliste qui lui disait « Votre film s’inscrit dans une veine très classique du cinéma » : « Je n’ai pas voulu faire un film qui se revendique moderne, ou radical. On est tellement envahi de fausse radicalité, de fausse subversion … » Question : pourquoi ce qui est possible et acceptable au cinéma ne le serait-il pas en peinture ?